« Personnel de carrière au sein des O.I., une tare ? »

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Il n’est pas rare d’entendre certaines personnes se plaindre au sujet du fonctionnement des Organisations Internationales (O.I.). Les principaux sujets de ces plaintes se résument en ces quelques lignes :

1). Les O.I. sont noyautées ;

2). Il existerait des lobbyings au sein des O.I. ;

3). Le quota en personnel de tel pays serait escamoté par tel autre pays ;

4). Il faut du lobbying pour obtenir satisfaction ;

5). Il existerait de cartels, de coteries patriotiques au sein des O.I. ;

6). Les O.I. n’aident pas, bien au contraire, elles écrasent des membres faibles. Bien plus, elles aident et écrasent à la fois les membres économiquement faibles.

En sus, Danielle MITTERAND, au cours d’une interview intitulé : « La démocratie n’existe ni aux USA, ni en France, » qu’elle avait accordée à Hernando CALVO OSPINA, n’a-t-elle pas déclaré que François avait dit, un jour, «  qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J’appris ainsi que d’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme.»

Certes ! En y réfléchissant, je me suis demandé si le fait d’avoir des agents de carrière au sein des O.I. n’était pas un vice ?

Oui ! C’est un vice. Il faut limiter la prestation du personnel des O.I. au mandat limité, car y faire carrière risquerait de créer des potentats ou des pratiques pernicieuses. Dans ce cas, un mandat, une fois renouvelable serait souhaitable, à tous les niveaux, pour une durée de 3 à 4 ans, étant entendu que le siège social est tournant tel que je l’ai toujours suggéré.

On doit veiller à ce que les devoirs soient accomplis et les droits exercés équitablement, par tous les membres.

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